Dans le polar que je viens de publier, Si la musique est la nourriture de l’amour, il y a une scène de concert. Rien d’étonnant pour une enquête sur un orchestre symphonique. Il y a aussi cette phrase à propos des spectateurs : « Parmi ceux qui péroraient avec assurance et emphase, bien peu semblaient réellement goûter le musique »
Je ne pensais pas que Le Monde illustrerait mon propos, mais si, c’est fait